La réforme de la Messe de 1969 a suscité initiatives et bouleversements dont Benoît XVI a lui-même souvent déploré les dérives anthropocentriques et iconoclastes. Mais qu’en est-il de la majesté du rite, de l’esthétique inhérente aux églises, au chant, au vêtement, au mobilier liturgique ?
Samuel Martin réagit ici en « homme de l’art » et appelle à cette « Réforme de la réforme » souhaitée par le pape, tant pour la beauté restaurée du geste liturgique que pour le digne hommage rendu au Créateur.